Les raisins brûlés nourrissent les frelons
Le bal des dards
Sur le silence des comis des grains de lumière
Les raisins brûlés nourrissent les frelons
Le bal des dards
Sur le silence des comis des grains de lumière
La canopée nue l'anis s'évapore elle somnole ronflements des moteurs anachroniques éclaboussures accélération décomposition des feuilles asséchées confétis confitures les bois diffusent un crachat la larme sillonne éveil crescendo une barre sur la joue quelques bulles quelques bulles plus tard
La nuit s'efface les chevreuils dansent le train la ligne deux parallèles siffle un cèpe deux girolles des commandes oh traverse et pourquoi slalomer le feu s'impose et puis l'averse pavlov course le renard roux en vain haletant se posant sur le parfum des pissenlits l'absence de semblable de mots crû de tromperie un édifice de vieilles canailles de tirs tendus parabolique et le métro quatre par trois engagez vous la terre est ronde à la limite tu tombes sur un os je me pose il ronge la marche se finie là un clap sa tourne un coup ces morts dévoilent le présent un tiroir-caisse une ouvreuse comédie dramatique sur les champs épuisé léger après avoir promené le chien jaune
L'horizon incertain brume amère tu me lances au travers des pins maritimes des enclume au levé du soleil mais la vague nous transperce rires échassiers le voilier un carré où sont les couverts trinqons sur cette nuit
Rediriger l'espace d'un temps la ligne sur le versant le plus au sud
N'y a t'il pas plus haut
Le bruit des étoiles sur les planches le bris d'eau un sourire
Toujours le sourire
Et les éclaboussures les impactes le passé le futur sur ces demi plans
À la limite décorent
Étendu les draps blancs invisibles dégradent le présent l'instant
Et un doigt tu le vois
A genoux en terrasse dans le froid les normalités dépassés
Applaudit il jouit
Le vent dans les feuilles un bonbon un enfant scintille
Écarlate et aveugle
Au pichet de sang au sublime le sourire d'alpinstes en fil indienne